Dijon et Lyon en rapido

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Après avoir reconduit Valérie à sa pratique, nous quittons Metz (et y reviendrons le 19 novembre prochain) vers Dijon. C’est une distance équivalente à Montréal-Québec alors nous sommes pas mal habitués. Arrivés vers midi, nous garons la voiture sans frais. Le 1 novembre, jour des 4 ans de Anne-Sophie, la petite-fille de Claude, c’est aussi jour férié en France, donc le stationnement dans les rues est sans frais. Tout ou presque est fermé. Nous trouvons quand même un petit bar pour prendre une bière.

Plusieurs commerces sont fermés et peu de personnes dans les rues. Ensuite nous déambulons dans le vieux Dijon et voyons de beaux édifices et rues. Nous sommes entrés dans un magasin de moutarde et en avons acheté quelques échantillons.

Nous reprenons notre chemin vers Lyon. Une route de 2 heures pour y arriver. Nous y sommes attendus vers 16:30. Le logement de ce soir est un bateau amarré sur la Saône, une des deux rivières de Lyon, l’autre étant le Rhône. Le Friponne nous recevra pour la nuitée à Lyon. Le même traitement royale de stationnement gratuit nous attend…nous sommes chanceux, vive les fériés.

Ce bateau sert de gite à ses propriétaires (ils habitent au devant du bateau et nous derrière) depuis plus de 20 ans…

Nous déposons nos bagages et partons à pied vers le Vieux Lyon. Nous longeons la Saône et arrivons juste à la brunante, avant le coucher du soleil. Traversons la passerelle St Georges.

La marche dans le secteur nous amène vers la rue St-Jean! Une rue comme celles du Vieux-Montréal ou de la place Royale à Québec, mais certainement 10 fois plus longue…

Il y a beaucoup de monde et des offres de restauration multiple. Plusieurs offres de crêpes et gaufres maison. On ne se laisse pas tenter.

Nous avons réservé notre resto de ce soir (à la recommandation de Zabie) à une institution de Lyon: la Brasserie Georges. Nous devons marcher un autre kilomètre pour arriver au resto. Nous ne sommes pas déçus de la nourriture.

Nous avons partagé un pâté avec de la baguette en entrée. J’ai ensuite pris du foie de veau qui fondait dans la bouche et Claude des saucisses toutes aussi bonnes. Un fromage et un dessert ont complété le tout. Nous avons pris deux bières chaque, le vin sera pour demain. Nous avons eu deux séries de voisins pendant notre souper. Le premier couple, des Allemands gentils qui nous parlent (tantôt en francais, mais surtout en anglais) de Vancouver et de leur raison de leur voyage à Lyon: leur fille étudie à Clermont-Ferrand. Le deuxième couple à s’assoir à nos côtés sont des français de Lyon. Lui, sourd comme un pot! Demande à sa femme dans quelle langue je parle quand je l’interpelle…haha! Français monsieur…on fini par jaser un peu avec elle et lui. Des gens dans les 75-80 ans je dirais. Ils ne comprennent pas que l’on soit à l’eau. Ils nous donnent un verre de blanc quand notre fromage et desserts arrivent…Ils sont des habitués de la place et nous jasent même de la ville d’où vient notre fromage…Saint Marcellin. Le service du restaurant est correct. Pas de grand fla fla, mais un service expéditif. On avait pas le droit au traitement royal je dirais. Le resto contient environ 400 places et le roulement des clients est intense et ils servent plus de 1000 clients par jour.

Retour au bateau pour reposer les petites chevilles, jambes et tendons d’Achille de Katie qui sont un peu meurtris par ces 10 kilomètres, Claude a eu plus de facilité que moi.

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